Le 24 novembre, les Tunisois ont de nouveau été touchés par une attaque injuste et abominable.
Un bus de la garde présidentielle a explosé, faisant 13 morts.
Cet attentat a eu lieu en plein centre de Tunis, dans une des deux artères principales de la ville, où se trouvent tous les cinémas qui célébraient à ce moment-là les Journées cinématographiques de Carthage. Encore une fois, des innocents meurent.
Face à ces nombreuses questions sans réponses, les Tunisiens et les Français de Tunisie ne doivent pas céder à la peur et rester unis face à la terreur.
Nous le sommes tous.