Quelles sont les réactions à l’étranger face aux événements qui se déroulent au Burkina Faso ? Comment sont perçus les derniers développements de la crise au Congo-Brazzaville, un pays dont le président envisageait aussi de modifier la Constitution pour rester au pouvoir ? Et comment cela est-il vu à Paris ? Nous en parlons avec l’opposant congolais Mathias Dzon, président de l’Alliance pour la République et la démocratie (ARD) de 1997 à 2002, Pouria Amirshahi, député de la 9e circonscription des Français de l’étranger, qui comprend le Burkina-Faso, membre de la commission des Affaires étrangères et Florent Geel, responsable Afrique de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH). Tous les trois participaient, vendredi 31 octobre à l’édition spéciale de RFI, avec Philippe Lecaplain.
« Le retour des peuples et des sociétés civiles sur la scène de l’Histoire »
