Pour une politique fondée sur des partenariats avec une « Afrique en mouvement »

«En fait, il faut mettre fin à deux écueils : le premier c’est la Françafrique, détestable dans ce qu’elle avait d’occulte, dans ce qu’elle avait de complice avec des systèmes kleptocrates et captateurs de richesses ; l’autre écueil, c’est la compassion misérabiliste, parce que l’Afrique bouge, c’est un continent en mouvement.»

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